CNRI
Je crois qu’une unité politique sur l’Iran serait le meilleur moyen de soutenir l’opposition dans sa lutte vers la liberté. Le CNRI prône un Iran sans nucléaire et montre qu’il y aura un pays totalement différent dans le futur. Nous pouvons l’aider dans sa lutte » a déclaré Sari Essayah au Parlement européen à Bruxelles le 23 février.
L’eurodéputée finlandaise intervenait devant 150 parlementaires et assistants réunis à l’invitation d’Eva-Britt Svensson, présidente de la commission des droits de la femme et de l'égalité des genres, pour débattre sur « Les femmes, avant-garde du changement démocratique en Iran ». L’invitée d’honneur était Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne. La réunion a été l’occasion d’annoncer la création du groupe parlementaire de solidarité avec femmes pour un Iran libre sous l’égide de l’eurodéputée Edit Bauer.
Voici l’intervention de Sari Essayah :
Je suis heureuse d’être ici avec mes collègues et avec vous Maryam Radjavi. J’ai beaucoup d’amis iraniens ici dans le public et ils m’ont dit et informé sur leur histoire. Cela fait 40 ans que les femmes luttent en Iran pour la liberté, le progrès et la démocratie. Beaucoup ont été victimes de la torture et de l’emprisonnement. Comme nous l’a montré ce film, beaucoup d’entre elles n’étaient que des jeunes filles, parfois âgées de 13 ans, et d’autre, les plus vieilles, près de 90 ans. Aussi pouvons-nous imaginer quelle sorte de tyrannie torture et exécute des femmes innocentes et des enfants innocents.
En essayant de justifier ses agissements, le régime accuse et taxe cette opposition de Mohareb, ce qui signifie « ennemi de Dieu ». Le châtiment peut aller de la torture à l’exécution.
Cette tyrannie doit vraiment prendre fin. Le message du peuple dans la rue montre qu’il est déterminé à changer le régime. Les slogans appellent le monde occidental et spécialement l’UE, à faire pression. A mes yeux l’Europe a du retard dans son action pour aider efficacement le peuple iranien. Nous avons entrepris des actions, mais pas suffisamment.
Je crois qu’une unité politique sur l’Iran serait le meilleur moyen de soutenir l’opposition dans sa lutte vers la liberté. Le Conseil national de la Résistance iranienne prône un Iran sans nucléaire et montre qu’il y aura un pays totalement différent dans le futur. Nous pouvons l’aider dans sa lutte.
Il est donc vraiment temps pour l’UE de se montrer ferme et de se concentrer sur des sanctions et de prendre part à cette lutte inéquitable entre les protestataires pacifiques et la tyrannie répressive et violente.
Maryam Radjavi je voudrais vous souhaiter beaucoup de chance dans votre lutte et de rester ferme dans votre action. Que Dieu vous bénisse !
L’eurodéputée finlandaise intervenait devant 150 parlementaires et assistants réunis à l’invitation d’Eva-Britt Svensson, présidente de la commission des droits de la femme et de l'égalité des genres, pour débattre sur « Les femmes, avant-garde du changement démocratique en Iran ». L’invitée d’honneur était Maryam Radjavi, présidente élue de la Résistance iranienne. La réunion a été l’occasion d’annoncer la création du groupe parlementaire de solidarité avec femmes pour un Iran libre sous l’égide de l’eurodéputée Edit Bauer.
Voici l’intervention de Sari Essayah :
Je suis heureuse d’être ici avec mes collègues et avec vous Maryam Radjavi. J’ai beaucoup d’amis iraniens ici dans le public et ils m’ont dit et informé sur leur histoire. Cela fait 40 ans que les femmes luttent en Iran pour la liberté, le progrès et la démocratie. Beaucoup ont été victimes de la torture et de l’emprisonnement. Comme nous l’a montré ce film, beaucoup d’entre elles n’étaient que des jeunes filles, parfois âgées de 13 ans, et d’autre, les plus vieilles, près de 90 ans. Aussi pouvons-nous imaginer quelle sorte de tyrannie torture et exécute des femmes innocentes et des enfants innocents.
En essayant de justifier ses agissements, le régime accuse et taxe cette opposition de Mohareb, ce qui signifie « ennemi de Dieu ». Le châtiment peut aller de la torture à l’exécution.
Cette tyrannie doit vraiment prendre fin. Le message du peuple dans la rue montre qu’il est déterminé à changer le régime. Les slogans appellent le monde occidental et spécialement l’UE, à faire pression. A mes yeux l’Europe a du retard dans son action pour aider efficacement le peuple iranien. Nous avons entrepris des actions, mais pas suffisamment.
Je crois qu’une unité politique sur l’Iran serait le meilleur moyen de soutenir l’opposition dans sa lutte vers la liberté. Le Conseil national de la Résistance iranienne prône un Iran sans nucléaire et montre qu’il y aura un pays totalement différent dans le futur. Nous pouvons l’aider dans sa lutte.
Il est donc vraiment temps pour l’UE de se montrer ferme et de se concentrer sur des sanctions et de prendre part à cette lutte inéquitable entre les protestataires pacifiques et la tyrannie répressive et violente.
Maryam Radjavi je voudrais vous souhaiter beaucoup de chance dans votre lutte et de rester ferme dans votre action. Que Dieu vous bénisse !
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